Une opération d’envergure vient de se conclure avec l’arrestation d’une centaine de pédophiles présumés.
Ce sont les Ntech, les cyber-gendarmes, de la Section de Recherche d’Amiens qui ont procédé à ces interpellations ciblées. Durant deux ans, les personnes de cette brigade spécialisée, secondés par d’autres services de la Police Nationale, ont tracé pas moins de 345 IPs d’internautes français. “Nous avons collecté les IPs des internautes qui cliquaient un certain nombre de fois sur des documents à caractères pédopornographiques“.
Jeudi matin, l’opération “anti pédophiles” prenait une nouvelle tournure et la position de guetteur laisse place à l’action. Une centaine de ces IP ont abouti aux domiciles d’internautes accusés de télécharger et/ou de diffuser des images et vidéos montrant des enfants dans des documents pornographiques.
Les internautes interpellés (pas tous adultes) sont maintenant en garde à vue en attente de jugement. La gendarmerie indique par ailleurs que l’opération n’est pas terminée, il resterait encore des IPs à remonter jusqu’à leur propriétaire.
La dernière opération de ce genre, baptisée Némesis a permis l’arrestation de 91 pédophiles agissant à partir de l’Internet français.
Crédits image : Gendarmerie Nationale
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La question est de savoir quel a était leur technologie pour les choper parce si c’est avec l’IP, e théorie il n’ont qu’a eu de demander les logs de ces personne au FAI, mais quel a était la souche de part?
On t’il fait un honey pot?
L’IP n’est pas une source sûre, n’importe qui peu passer par un ordinateur pour se planquer.
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