Aujourd’hui a lieu la deuxième journée nationale de lutte contre le harcèlement scolaire, et, cette année c’est plus particulièrement le cyber-harcèlement qui est au cœur de toutes les préoccupations.
Communiqué de presse Whaller – Najat-Vallaud Belkacem, Ministre de l’Education Nationale a annoncé hier diverses mesures pour renforcer la lutter contre ce phénomène nouveau aux conséquences dramatiques touchant près 700 000 élèves qui sont victimes de menaces, insultes et humiliations sur les réseaux sociaux.
Pour Thomas Fauré, Fondateur et CEO de Whaller – plateforme permettant de créer ses propres réseaux sociaux privatifs le problème fondamental est l’incitation au « like » :
« Sur les réseaux sociaux, il est primordial que la neutralité du web soit respectée. C’est pourquoi nous avons pris le parti de ne pas inclure dans Whaller d’algorithmes filtrant automatiquement les messages afin de faire remonter les plus aimés. Nous défendons une neutralité des flux d’informations présentés à l’internaute. L’incitation à liker – qui peut avoir un effet pervers et néfaste sur les réseaux sociaux – n’existe donc pas.
Autre problème : l’audience et la volonté de diffuser « sans frontières ». Les réseaux sociaux permettent de diffuser en un clic une publication à des millions d’internautes, et cela accentue certaines dérives, comme la diffusion d’images d’ordre privé sans le consentement des personnes concernées, phénomène de plus en plus courant et de plus en plus dangereux. Les internautes devraient être incités à communiquer de manière plus personnalisée. Sur Whaller, les utilisateurs créent des espaces de conversation appelés « sphères », privatifs et strictement étanches les uns des autres. Ces sphères permettent avec un seul compte de gérer différentes relations sans pour autant les mélanger. Sur Whaller, il n’existe pas de “lieu” de conversation public, un message est forcément contextualisé à une sphère. L’objectif de Whaller est d’être un espace de confiance sur le web, la protection y est présente « par défaut » grâce à la conception même de la plateforme. C’est pourquoi nous ciblons les lieux d’éducation, comme les familles et les établissements scolaires, afin de sensibiliser, dès le plus jeune âge, à une utilisation plus responsable des réseaux sociaux. »
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