Plus des trois quarts des professionnels de la sécurité estiment que les réseaux sociaux doivent être soumis à une législation plus stricte en matière de protection de la vie privée.
- 93 % des sondés ne font pas confiance aux réseaux sociaux pour protéger leurs informations personnelles.
- 82 % des sondés ne font pas confiance au gouvernement pour protéger leurs informations personnelles.
- 80 % des sondés affirment que les fonctionnaires ne comprennent pas les cyber-risques ciblant les infrastructures numériques.
« On observe une vague mondiale de législateurs, de régulateurs et d’agents de la force publique qui proposent des lois de surveillance controversées, notamment les portes dérobées de chiffrement imposées par les gouvernements », indique Kevin Bocek, vice-président du département de stratégie de sécurité et d’analyse des menaces de Venafi. « Cependant, les professionnels de la sécurité accordent une confiance limitée à la capacité des politiciens à renforcer la cybersécurité compte tenu des piratages incessants des gouvernements aux États-Unis et à travers le monde. Les résultats de notre étude font clairement comprendre qu’il est vital pour les gouvernements d’améliorer leurs compétences en cybersécurité de manière à obtenir des résultats significatifs et à aider les défenseurs que nous avons déployés aux avant-postes à préserver l’économie, la liberté et la vie privée dans le monde entier. »