Durant les deux derniers jours, plusieurs attaques cybernétiques ont porté atteinte à la sécurité nationale du Japon.
Tout d’abord, le parlement japonais a été touché par une cyber-attaque provenant de la Chine (selon le rapport). Un serveur situé en Chine a été utilisé pour l’attaque de la “Lower House” japonaise. Cela a conduit à une réunion extraordinaire d’un comité, après qu’il se soit avéré que les pirates ont eu accès à des courriels et des documents appartenant à 480 membres de la chambre des législateurs durant au moins un mois.
Les ordinateurs personnels ainsi que les serveurs Japonais des législateurs de la Chambre ont été touchés par une cyber-attaque, et des mots de passe et des identifiants d’utilisateur peuvent avoir été volés.
Ensuite, de l’information sur les avions militaires et les centrales nucléaires peuvent aussi avoir été volés dans une série de cyberattaques visant la défense japonaise gérée par Mitsubishi Heavy. Mitsubishi Heavy a déclaré le mois dernier que 83 ordinateurs sur 11 de ses installations avait été touché par des cyberattaques, mais aucune fuite d’informations sur les produits et technologies n’ont été confirmés.
Christophe Bianco, Directeur Général Europe du cabinet de gestion des vulnérabilités Qualys, a averti que les révélations soulèvent des questions de sécurité graves qui devraient concerner toutes les organisations. “Si cette information a en effet été perdue, elle prouve que, même pour les entreprises agissant sur ??des marchés sensibles où le niveau de sécurité est normalement au plus haut niveau, il est difficile pour eux de se protéger”, a t-il dit.” Cela donne une perspective sur le défi actuellement confronté par d’autres organisations du secteur privé qui interagissent avec le public en général. “
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